Carte visite de Frédéric Masson ( large bord noir de grand deuil )
Le Dimanche 15 octobre 2000 , l’Association des Amis de Frédéric Masson inaugurait une plaque commémorative au 122 rue La Boétie , où l’historien de Napoléon avait vécu de 1874 à 1903 , en présence du Prince Charles Napoléon et du maire du VIII° , François Lebel . Il habitera ensuite , jusqu’à sa mort , l’Hôtel de la rue de la Baume , hérité de ses beaux parents . En 2010 est inauguré la rue Frédéric Masson à Asnières sur Oise , commune dont il fut le maire de 1886 à 1908 .Extraits de la Revue Numéro 7 des Amis de Frédéric Masson pages 4 à 9
Pose de la plaque rue La Boétie début octobre 2000 par Denis Raquin , fondateur de la Société d’Histoire du Père La Chaise , en présence de Nadine Vogel , soutenu par Jean-Marie Darnis qui avait consacré un article au médaillon par Legastelois aux pages 42/43 et 44 de la Revue n°3 des Amis de FM , dont une copie en résine réalisée par Denis Raquin a été collé sur cette plaque gravée par M.Pinton . Lettre de Frédéric Masson avec la mention manuscrite du 122 rue La Boétie
Lettre avec papier à en tête imprimé
Sadi Carnot (1837-1894) a habité à ce même numéro 122 , en 1882 , avant de devenir président de la République française en 1887. Le compositeur Alfred Bruneau (1857-1934) habitait cet immeuble en 1910 , comme Antoine Béclère le pionnier de la radiographie dans l’entre-deux-guerres
Située sur les anciennes pépinières royales , percée en 1777 , cette rue donne sur les actuels Champs Elysées . Ses dénominations successives suivent les vicissitudes de l’Histoire : d’abord nommée en l’honneur du duc d’Angoulême (1775-1844) , fils aîné du comte d’Artois , propriétaire des lieux , elle porte le nom de rue de l’Union à la Révolution française et ce jusqu’en 1815 . Elle reprit ensuite sa dénomination initiale de rue d’ Angoulême jusqu’en 1830, date à laquelle elle devint la rue de la Charte . Elle fut ensuite rue Lapeyrouse , pour la troisième fois rue d’Angoulême en 1852 , rue de Morny en 1863 , rue de la Commune en 1871 , rue Mac-Mahon et enfin rue La Boétie en 1879 .


